EXPERTISES

Média-training et prise de parole en public

Optimiser l’impact de vos messages

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Intervenir dans les médias audio-visuels en direct ou en différé, préparer une intervention stratégique en public sont autant de circonstances qui ne doivent pas laisser de place à l’improvisation.

Notre approche :

En crise ou hors crise, fort de la réalisation de plus 6 000 média-trainings en 20 ans, l’objectif de Crises-Experts n’est pas de
fournir uniquement des conseils sur la forme de votre intervention mais de définir avec vous vos messages stratégiques.
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Nos formations permettent de renforcer vos argumentaires et d’apporter des conseils individuels à chaque participant.

Réalisées par un expert en crise, les formations se réalisent en toute confidentialité. Nous recommandons l’individuel pour le top management.

L’expérience de Crises-Experts nous conforte sur le fait que dans la majorité des cas le recours à des journalistes est non seulement coûteux mais surtout moins efficace. Le journaliste est passionnant pour décrire le fonctionnement du média et raconter des anecdotes mais il pousse souvent les entreprises à communiquer les informations attendues par les médias alors que le consultant en crise apprendra à l’entreprise à diffuser ses messages, la nuance est essentielle.

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Vous êtes :

PDG, DG, DAF, DRH, Dircom

Responsable de site avec ou sans votre Codir,

Patron de filiale,

Responsables d’association professionnelle,

Une autorité militaire,

Responsable ministériel,

Scientifique, Expert,

Responsable produit

Etc.

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Types d’interventions :

Simulations d’interviews Radio-T.V. filmées avec caméra,

Préparation d’émissions T.V. polémiques,

Préparation d’interventions publiques (ex : assemblées générales, résultats financiers, grandes réunions internes, débat public, présentation d’un nouveau dirigeant),

Lancement de produit

Casting des porte-paroles potentiels,

Préparation d’argumentaires stratégiques,

Préparation de portes-ouvertes,

Anticipation d’une situation sensible,

Repérage des zones de tournage potentielles sur un site industriel (image projetée, secret de fabrication, polémiques évitables etc.).

Etc.

La taille idéale d’un groupe est de 5 à 6 participants par journée.
Si besoin, Crises-Experts dispose d’un studio de tournage dédié en région parisienne, très discret.

La crise en questions

Quelques exemples de questions que vous vous posez

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Un journaliste T.V. veut nous interviewer, comment ne pas se faire piéger ?
regard
Faut-il regarder la caméra ou le journaliste ?
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Mes directeurs de filiales sont les premiers exposés, comment les soutenir ?
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Crises-Experts vous recommande certaines actions prioritaires à mettre en place

Extrait de la Fiche prise de parole en public © Crises-Experts
Cliquez sur le “plus” pour accéder à nos recommandations génériques

(à adapter par entreprise et par métier)

Juste avant l’interview :

• Faites un point avec la cellule de crise pour vous assurer d’être au fait des dernières informations en particulier concernant les victimes.

• s’entraîner : une règle absolue : pas de contact avec la presse sur une situation de crise sans préparation ni entraînement, fût-ce au téléphone.

• Accueillir la presse dans un local neutre, séparé des locaux de crise.

• Sur le terrain, attention à l’arrière-plan (éviter attroupements, flammes, installations dégradées, etc.).

• L’interview démarre dès lors que le journaliste est présent.
Ne pas se laisser abuser si le journaliste affirme poser des questions en « off » « entre nous… » « hors micro… ». Tous vos propos, qu’ils soient enregistrés ou non, sont susceptibles d’être repris.

L’interview n’est pas une conversation,
ni un interrogatoire.

• Ne vous contentez pas de répondre aux questions. Prenez l’initiative pour passer vos messages-clés.

A la première question du journaliste :
passez systématiquement par le préalable
vous permettant d’enchaîner sur votre message-clé prioritaire.

• Faites des phrases courtes et directes.

• Prendre en compte les victimes ; le message de compassion initial ne suffit pas :
– adapter le ton du discours à la situation ;
– détailler le plan d’actions orienté vers les victimes ou les personnes impactées.

• Les questions peuvent parfois paraître agressives ou trop directes. Ne pas les prendre comme des attaques personnelles.

• Choix des mots : éviter la dramatisation. Choisir des mots neutres/factuels. Ne reprenez pas les propos ou les termes du journaliste.

• Les médias, ainsi que la plupart de vos publics, ne connaissent généralement pas la situation. Soyez pédagogue. Le plus simple et le plus concret possible.

• Ne pas faire d’humour, ni de second degré.

• Ne pas hésiter à s’adresser directement à un public impacté (par ex. les riverains).

• Attention aux questions de dernière minute (retour vers la sortie).

Face à la caméra : regarder le journaliste, pas la caméra.

Assis :
• les deux pieds à plat sur le sol,
• ne pas s’enfoncer dans le siège,
• ne pas se coller à la table,
• pas d’objets dans les mains,
• ne pas croiser les bras. Face à la caméra : regarder le journaliste, pas la caméra.

Debout :
• les deux pieds à plat sur le sol,
• ne pas croiser les bras,
• ne pas lire de papier.

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